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Médiathèque

Ludo-Médiathèque
168, chemin de Pébon
40270 BORDERES ET LAMENSANS
    05 58 45 10 61
mediatheque.borderes@wanadoo.fr

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HORAIRES

Mardi : 15h-19h
Mercredi : 10h-18h
Vendredi : 15h-19h
Samedi : 10h-12h30

De novembre à mars, le dimanche de 14h30 à 17h

18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 10:29

football

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 11:12

football 13022010

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 11:43

Le péplum de téméraires voyageurs. Un film de et avec les jeunes de Bordères et Lamensans !
Quelques photos de la soirée !

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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 09:08

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6 décembre 2008 6 06 /12 /décembre /2008 10:25
Merci Amélie "Lareine " pour ce compte rendu qui nous replonge dans le séjour parisien.


Bordères, 7h30. Aprsèa voir dit "Adieu" à nos très chers parents (qui, gentiement, souhaitent que nous nous perdions à Paris), nous partons heureux bercés par les histoires de Lucie... Arrivés à la gare de Dax à 8h40, nous sommes enfin prets à partir. Les billets sont là, le contrôleur est un comique ( à garder en mémoire : la tête de Claire quand il lui a dit que le train allait je-ne-sait-où-dans-le-nord...). Nous avons également décidé de décerner une palme pour les plus grosses bourdes ou autres péripéties ridicules (une sorte de king of boulets). Elle est pour l'instant attribuée à Marie Julia qui, sagement assoupie sur son siège, a approché une dame de très près, nous pouvons le dire. Cette personne s'est étalée sur Jo de tout son long, sans que cette dernière ne réagisse. C'est seulement après 5 minutes que mademoiselle Yzern a consenti à ouvrir les yeux, et à aider la personne à se relever, sous les éclats de rire de ses compagnons de voyage. Julie et Lucie quant à elles, sont encombrées d'un jeune scoat, qui apparemment ne veut plus les lacher d'une semelle. Cet individu blond et pubère essaie de communiquer avec Lucie en lui prenant son téléphone des mains. Honte à toi jeune beau parleur !
"Allô Régis? Ouais, jevous prête la maison, Y a de l'alcool mais vous fumez pas...." et cela jusqu'à Paris...misère ! Du coup, tout le monde se défoule sur la nonurriture (sandwichs et fraises tagada ! sans oublier les divers bonbons et gâteaux...) Notre humeur est à la couleur du temps : bleu azur !
Dans le tain, les Bordériens s'adonnent à plusieurs activités : Laura textote, Lucie est concentrée sur son portable (d'après Claire, il est greffé à sa main...) ; Julie, après avoir tricoté, lit, Camille et Sandrine se concentrent sur les sudokus ; Marie Julia écoute de la musique et dort encore; Antoine fait "rien"'; Mélanie et Solène se moquent de Kel le blond, tandis que Mouse lui tourne le dos "je lui parle pas il est trop laid !"; Claire et Audrey écoutent de la musique et Lucie (par la même occasion); et Amélie "Lareine" a mis son pull à l'envers...

Arrivés à Paris, nous nous dirigeons pressement vers les guichets où nous rencontrons un problème avec les passes. Pendant ce temps, Amélie "Lareine" tombe de sa valise qui est à roulettes (précision importante) et c'est reparti direction le chateau de Versailles !
Nous prenons pour la première fois le RER en voyant défiler le paysage parisien. Lucie, en sortant de la gare de Versailles demande à une passante :"où est Versailles? " sous les yeux ahuris de cette dernière. C'est sous la pluie et ensuite les grelons, que nous franchissons les grilles dorées du château. Mis à part ça, le guide, est désormais célèbre jean Luc, a pris en affection notre petite Laura. En effet, lors de la visite de la salle à manger, il nous demande pourquoi il y avait 6 plats de chaque, pourquoi? pourquoi? Mini Grisou, seule et sans défense, isolée dans un coin sombre, occupée de prendre des photos, est devenue la victime du guide sans merci. Elle a simplement répondu du tac au tac "parce qu'ils aimaient le chiffre 6 ...". Ses solidaires amis ont éclaté de rire...Le gentil petit guide ayant une oreille usée par trente années de travail, lui a fait répéter... Cette réponse pour le moins inattendue nous a tellemnt fait rire (surtout en nous remémorant la tête apeurée de Laura), que le soir, dans une crêperie, les larmes nous sont venues à force de rire, ne pouvant plus articuler le moindre mot. Maios ce qui nous a fait venir les larmesest surtout la réponse de Jean Luc, qui ne voualnt pas blesser Laura, a dit : "c'est un peu vague comme réponse".

Lors du festin breton, Amélie Mouse n'a cessé de répéter " c'est bien quand même..." ("sur un ton nonchalant" selon Claire), en faisant le bilan de la journée. De retour, (ou d'entrée) dans notre humble demeure, réunion au sommet chez la Mère Mouette et le Maitre chat (claire et Sandrine). C'est à ce moment que nous avosn tiré au sort les individus GPS. Mais ce soir là, de nombreux corps sont meurtris. En effet, lors de notre visite au château du roi, ayant traversé vents et marées, et avec jean Luc tout feu tout flamme, notre Lucie nationalen'a plus de batterie. Elle succomba alors à la maladie...mais elle n'est pas la seule à souffrir : Camille et en particulier son bagage à roulettes n' a pas pu résister au temps caracteriel de la capitale. Audrey et sa consoeur ont donc dû faire un "tas de sacs" qu'elles ont trainé toute la journée. Pour faire concurrence à Laura et avant d'entrer dans un état d'agonie, Lucie a répondu à une des questions de Jean Luc qui était "où on été inventées les bougies? A bougie. Où ce al se trouve t'il? " Elle a tenté : " En Amérique". "Non, à bougie, en Algérie !". c'est presque pareil....oui ca commence par la même lettre". Certes...
N'oublions pas Jean Luc "J'aime beaucoup Mont de Marsan. C'est moche mais j'aime beaucoup. Quand je serai à la retraite, j'irai y cultiver des choux".
                              You are our heroe JL !
                              Tù estas notros heros JL !
                               Tu es notre héros JL !
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 10:58

Rendez-vous à 8h15 dans le couloir pour aller petit déjeuner dans notre centre d'accueil Louis Lumière. Nos GPS Lucie et Laura nous ammenent ensuite jusqu'à la cathédrale notre Dame. Nous prenons le métro, Porte de bagnolet (tout prêt de chez nous) et après des escaliers, des métros, des escaliers, des métros, nous arrivons sur les pavés de l'ile de la cité. La visite se fait sans guide, mis à part la Mère Mouette qui nous lit l'histoire de la maison de Casimodo. Une fois le our du monument fait, nous sortons et nous sommes accostés par un vendeur de mini Tour Eiffel. Il nous dit très gentil et admire les yeux de Claire. Et voila que nous sommes les heureux propriétaires de 31 petites Eiffel Tour. Devant la cathédrale, c'est flash à volonté : on se prend en Dieu ou pour Dieu, on fait allonger Amélie "Lareine" sur le sol dur et glacé pour prendre un cliché original.
Mais comble du comble, nos deux GPS (devant montrer l'exemple) sautent derrière un groupe de japonais pour gacher la photo. Ceux-ci les ayant vues, ils les obligent à venir faire  la photo de groupe. Au milieu, sans défense, emprisonnées, Laura et Lucie posent malgré elles devant un guide japonais ayant une trentaine d'appareils photos. Pour voler à laur secourss, tous les Bordèriens se mèlent au joyeux groupe pour une photo souvenir gigantesque ! Malgré les cris de protestation de nos nouveaux "amis", nous partons vers une nouvelle aventure au galop : Le Louvre.


Nous arrivons devant un immense bâtiment construit à la Renaissance. Après avoir goûte dans la salle d'attente, notre guide, Claire (pas la mère Mouette), nous emmene voir différents tableaux et sculptures (photographiés avec soin par laura qui après avoir rempli l'appareil de Claire, s'attaque à celui de Sandrine) : la "Vénus de Millo", la "Victoire", la "Joconde", le "Sacre del'Empereur" et nous pouvons apercevoir les oeuvres de Picasso. Du monde, des appareils photos, des étudiants dans les beaux arts, le Louvre est une fourmillière grouillante.

Après s'être légèrement dispersée, notre petite troupe prend le chemin des restaurants : chinois, libanais, italiens, espagnols... le choix alimentaire est sans fin. Avant de sediriger vers la Tour Eiffel, petit tour aux toilettes. Laura, après être allée voir avec Amélie "lareine" s'il y a pas de toilettes  non -payantes dans les étages, croit que des ascenseurs font office de "petit endroit". Nous ne dirons pas le suite, elle loupe la marche de l'escalator et manque de s'étaler de tout son long.

Encore métro et puis nous apercevons enfin l'antenne culminant à 317m...ouais ! Petite pause photo devant la géante dame de fer où Lucie pose avec une militaire qui l'a prise pour une cruche. En effet, notre pigeonne pro vaillant, gentille et attentionnée envers son nouvel ami lui demande ce qu'il fait armé à la Tour Eiffel . Le militaire dit "de la prévention". "La prévention de quoi?" . "la prévention anti terroriste". C'est avec un petit sourire que Lucie revient vers nous, sous les acclamations de ses camarades. Nous montons la Tour Eiffel, avec l'ascenseur, jusqu'au 3ème étage, avec une légère pause au 2ème. Là, dans la file d'attente et pour nous occuper, nous nous sommes réincarnés en personnages divers  :Lucie est lucky Luke, Marie Julia est Jo, Audrey est Jack, Solène est William, Julie est Avrel, Antoine est le banquier, Sandrine le chat de Ma Dalton interprété avec brio par laura, Mélanie est le croque-mort, Camille est le shérif, Amélie est Rantanplan et Claire est joly lumper. Les regards en coin qui nous dévisagent, nous, nous en contrefichons !


Après avoir pris je ne sais combien de photos (n'est ce pas Laura !) , nous faisons une réunion au sommet (c'est le cas de le dire !) qui nous sert par la même à nous réchauffer. Nous décidons de faire cp sur Montmartre, et d eprendre le finiculaire (c'est une question de survie musculaire. Au Sacré Coeur, un artiste du ballon rond fait son show, devant nos yeux ahuris. Nous montons les quelques marches jusqu'à une petite place où d'inombrabes artistes veulent nous faire le portrait  (pas nous casser la figure !), dont un dénommé Chouchou! camille se fait copine avec un vieil homme d'art mais, finalement tout le monde décide qu'il est l'heure d'aller manger. Nous nous faisons accoster par un serveur qui, avec beaucoup de bagout, arrive à nous entrainer dans le restaurant  "Au cadet de Gascogne", sous l'oeil amusé du patron.

Il fait bon, les enfants  portent des chapeaux ridicules, le pianiste joue, nos rires fusent. Ils sont dus en partie à Laura qui imite une sorte de chameau, et aux messages de Marie Julia très...étranges. En tant que petits êtres frigorifiés (nous avons passé du temps dans les rues de Montmartre : Lucie et Julie se sont achetées des chapeaux et les autres ont guétté la nourriture !), nous décidons de reprendre les voies de métro. Claire nous fait prendre conscience de tous les microbes présents sur les barres de métro : "dans la pub, les microbes sont représentés par les lettre. T'as des lettres partout sur ta main !"

Scandons ensemble : "LES BARRES DE METRO SONT RESPONSABLES DE GASTRO !".

Justement dans le métro, tout le monde commence à être victime de la fatigue : nous rions pour rien et Joa soudain une lumineuse idée. Elle propose de jouer à "JAcadi a dit". Entre temps, quand Laura et Amélie discutent cela donne un langage de sourds. Sourdes en l'occurence, Laura dit à Amélie "J'ai chaud !" "moi aussi, toi aussi?" . Et un fou rire s'ajoute à notre palmares. Nous rentrons donc tout heureux. Sur le chemin envahit par des lettres à la recherche de corps perdus, nous décidons de nous lancer dans le jeu. Le premier "Jacadi a dit" est ,commeil se doit, celui de MArie Julia : "Jacadi a dit , vous montez les escalators à l'envers". Sitôt dit, sitôt fait. Nous voila partis à la conquête de l'escalator mouvant. Ce qui est pour déplaire à Laura. Tout le monde y arrive et les descend, sauf elle, qui stagne en haut. Mais elle y arrive tout de même, sous les acclamations de ses copains. Du coup, c'est elle qui fait le prochain jeu : "Jacadi a dit : on se roule par terre". Claire ("je perd toute crédibilité") et Jo en tête pour s'étendre sur le sol lisse et noir du,métro. La vision est tellemetn amusante que les autres suivent...malgré eux : la caméra tourne. Pendant ce temps, Marie Julia nous fait la mouette unijambiste, souvenir de la Tour Eiffel : quelques heures plus tôt, en effet, nous sommes allés voir la Tour Eiffel s'illuminer. Quel spectacle !  Le camps des mouettes contre celui des pigeons, les mouettes crient, résultat : des jeunes personnes ayant pourtant un esprit saint, ou un Saint esprit, se prennet pour des oiseaux. Merci chères accompagnatrices... Mais revenons à nos Jacadi... Après Laura, on laisse le choix à Lucie "jacadi a dit, slalomez entre les poteaux". Execution chef des pigeons ! et nous voile en skieurs parisiens, sous l'oeil amusé des passants préssés. Et puis Camille annonce "Jacadit a dit : on joue à saute mouton sur les (encore) poteaux. Sale affaire pour ceux qui font 1m50 ou moins, mais les courageux aventuriers continuent tant bien que mal. Amélie "Lareine", en admiration davant les mimiques de mini Grisou annoce : "Jacadi a dit imitez Laura". Celle ci, ne se le fait pas redire : elle prend la pause et avance en mode "je me la pète!". Sandrine , quant à elle, pense déjà au prochain gage : "jacadi a dit, traversez le passage piéton a cloche pied". Du coup, ce ne sont plus les passants qui nous regardent bizarrement, mais les automobilistes... ni vu, ni vu ! Arrivés sur le trottoir, tout essoufflés, nous n'avons pas le temps de respirer, claire dit "Jacadi a dit, faites du vélib". Nous grimpons donc sur les bicycles avec une fougue démesurée.  Nous pédalons : Lucie crie, Marie Julia et Audrey n'attrapent pas aux pédales et des éclats de rire fusent de partout. Solène enchaine: "Jacadi a dit, chantez au clair de la lune en canon. Quelques individus s'échappent l'instant d'un chant, bizarre, bizarre...nous sommes faites pour intégrer une chorale....ou pas...en tout cas, certaines se voient déjà chef d'orchestre...Mais Audrey renchérit : "jacadi a dit, suspendez vous aux grilles". Quitte à se prendre pour des chanteurs ou des cyclistes, maintenant on se prend pour des alpinistes...qui tombent ...sans commentaire.

Nous rejoignons ce qui ont avancés pour un Qg dans la chambre des filles. Réunion au sommet qui dégénère : nous sommes épuisés mais continuons à rire. Camille se trouvant à coté sz notre nourriture favorite (bonbons!), elle décide de nous lancer des dragibus les uns après les autres, les mains envahies de "lettres". Certains réussissent comme Audrey, Amélie, Antoine, Camille, d'autres sont à deux doigts d'y arriver... vraiment entre deux et six doigt..ou encore plus.
Hors de question de manger à présent ces dragibus tout pleins de lettres.

Et puis, en repensant à la file d'attente de la Tour Eiffel, Lucie et Claire s'éffondrent : "et si on faisait un film?". Tout le monde est motivé, c'est parti ! Caméra en main, Camille filme Amélie "Lareine" qui meurt, Lucie qui est montée sur le dos de son fidèle destrié, Antoine impassible en banquier, Laura et Sandrine qui joue la grand mère et le chat, Amélie qui essaie de se faire respecter en tant que chien, et les quatre Daltons à fond dans leur rôle : Averell a faim, Jack et William sourient et Jo fait sa crise. Quelle calamité ce Joe ! (calamity Jo ..).
Mais il ne faut surtout pas oublier le magnifique cri de Sandrine. En effet, pour savoir à quel camp on appartient, on doit soit imiter le cri du pigeon (clan de Lucie :"Vaillant pigeon de combat") soit la mouette (Marie Julia et ses sources Bretonnes). Lucie, Audrey, Amélie, Antoine dans le camp des envahisseurs de parcs et jardins, tous les autres sont dans le camp du majestueux palmipède. Mais Sandrine a décidé d'être neutre, elle nous fait donc un cri entre mouette et pigeon, pour le coup très réussi, que Lucie qualifie de "mutant".

Après cet épisode et ce film cahotique, nous allons à la douche pour passer une bonne nuit de sommeil.

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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 10:17

 Nous nous levons assez tard (7h30/8h15) pour aller petit-déjeûner tous ensemble. Nous sommes encore les derniers, mais ce n'est pas grave. Nous avons tous hâte de voir le bout des oreilles de Mickey, même si mouse est parmis nous... Après 40 minutes de trajet dans le RER (peuplé d'innocents enfants comptant, et oubliant à chaque fois le numéro 17, et s'amusant...malheur !) nous voyons les grilles du château. Laura prend une photo souvenir (original !) et nous nous dirigeons vers les guichets. S'ouvre ensuite devant nous une immense rue : Main streer. Des citrouilles surgissent de toute part, attaquant Camille a la tête et Julie aux jambes. Mais rien ne nous effraie : nous nous dirigeons à présent vers la maison hantée où tout le monde est un peu stréssé. Dans l'ascenseur nous paniquons un peu...mais tout se passe pour le mieux et ...nous arrivons devant une autre attraction : le train de la mine. Faute de palce, l'indiana jones est notre prochain manège. Dans la file d'attente et pour nous réchauffer, Lucie nous donne un cour de step..."1,2,3,4, on tourne !". Une demi heure plus tard, avec les cheveux au vent après le manège, nous nous dirigeons vers le train dela mine. Mais notre ventre crie vite famine : nous faisons halte au "Hakuna Matata", et en profitons pour nous réchauffer un peu. Pour éviter de perturber notre digestion, nous allons dans la maison des poupées, et enchainons sur le bateau pirate. Claire, Amélie, Audrey et Antoine secouent leurs gentilles camarades devant eux ( à savoir Camille, Lucie, Mélanie et Amélie "Lareine") , qui influencées par les mauvais éléments , ont eux même fait peurnaux inoffensives petites créatures (Marie julia, et Sandrine). Manque de chance, elles sont à l'avant et ne peuvent se venger sur personne.

La remarque de Julie résume asez bien ce moment, bien qu'elle soit discutable : "je suis rouge comme une patate". Nous voulons nous dépecher pour ne pas râter le crème des crèmes en matière d'attractions : Le space moutain. Mais nous sommes stoppés par la parade. Réjouissance: nous pouvons apercevoir le livre dela jungle, Peter Pan.. mais rien n'est plus rejouissant que le manège étoilé. Sandrine y ayant survécu, nous descendons les cheveux figés par le froid mais heureux et euphoriques. Pour le coup, nous le refaisons deux fois. mais nous n'oublions pas la maison de Peter Pan, sinon Joe va nous refaire crise dont elle seule a le secret; "Oh pauvre Nanaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! ". Mais Lucie et Amélie "Lareine" sont allées au x toilettes. Misère, ô misère ! Il leur faut retrouver la maison de Peter Pan, et ce n'est pas gagné... elles courent, elles courent...les maladies d'amour... mais elles se perdent aussi quand elles demandent leur chemin, ce sont des anglais. Persistante Lucie demande alors a un autre couple : "Do you speak french?". La dame gentiement , lui répond : "Et beh oui ! . Encore raté ! Mais elles arrivent à temps pour partir manger. NOus festoyons dans une baraque à frites typique dans MAin Street. Amélie enthousiasmée par tant de frites en une semaine, et ayant, avec Antoine, pris 3 barquettes de délices tuberculeux, sort en plein repas " C'est bizarre, on mange comme en France...". Inutile de préciser que cette phrase brève ne passe pas inapercue... Après quelques achats dans les boutiques, Antoine découvre les peluches (accompagné d'Amélie), et c'est reparti pour 40 minutes de RER.

Mais le métro a des effets sur nous que lui m^me ignore: revenu dans les sous-sols parisiens, notre folie reprend le dessus. Claire complote avec Audrey et Antoine,... et ils veisent en particulier Laura et Amélie "Lareine" ils nous annoncent qu'ils sont en train de se demander quels sont les éventuels "boulets" qui peuvent se louper l'arrivée de l'escalator... avons nous dit que Laura l'a déjà fait... C'est à ce moment qu'Amélie "Lareine" demande "on reprend le métro demain?" Ce qui est ,bien sur, source de moquerie pour ses méchants camarades  en soif de victimes...

Sortis porte de bagnolet, nous rentrons chez nous..."Et si on refaisait Jacadi a dit?" lance une ptite voix dans la nuit..." D'accord !" Les autres n'attendent que ca...Lucie nous fait entasser dans une cabine téléphonique, les escalators font leur grand retour, nous avons traversé le passage piéton à l'envers, et en courant ! mais vu l'état de fatigue dans lequel certains sont, nous nous dépêchons de rentrer.

Quelques irréductibles résistent encore et toujours à l'envahissuer : l'exténuation ! Nous reconnaissons les deux Amélie, Audrey, Lucie et Laura. Elles décident de venger leur compatriote Amélie, à qui Antoine avait mis du sel dans le coca. Pour ce faire, les dures à cuire se mettent de chaque coté de la porte, prêtent à attaquer. Amélie essaye  de l'appâter en lui disant "Antoine!, viens on va parler foot..." Que de rires ! et ça dure comme ça toute la nuit! Nos dormons toutes dans la même chambre...Mais un fou rire emplits les mémoires : nous sommes aux toilettes à Disneyland, et tout à coup, Claire se met à rire, suivie de tous : Laura a un bout de papier toilette collé à la chaussure...elle se demande pourquoi nous rions...mais Lucie éclate de rire à son tour : Claire se promène elle aussi avec du tissu spécial wc sous le pied...

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 17:48

Le lever est plus que difficile . Les bagages sont faits (ils rentreront dans la bagagerie, heureusement !), le petit dejeuner est pris, nous voila en route vers la Cité de la Science.... Le métro est là, nous courons pour vite l'attrapper. Nous arrivons essoufflés dans le train souterrain, quand, soudain, Mélanie reçoit un appel. Son visage exprime de l'amusement : sa très chère soeur Laura est restée maencontreusement sur le quai. Mais le pire, c'est qu'aucun d'entre nous ne s'en est apreçu. Elle a, nous explique t elle, perdu son gant. Quoi de plus naturel que de l'attendre à la sortie du métro suivant, par lequel elle arrive, et de lui faire une ovation tout en caquetement !

Oh ! pauvre Lauraaaaa!

 

Et puis, c'est l'arrivée à la Cité de la Science. Des sons, des maths, un sous marin, un film en 3 dimensions et un repas pris ensuite dans le métro sous les yeux des Parisiens, nous leur sourions un bout de salade coincéé entre les dents.

 

Une balade sur la Seine en bateau mouche où Laura prend (encore) des photos, où quelques unes s'endorment.... nous sommes au chaud, en formation pingouins....


Et puis le grand stress commence : tout est une question de timing. Il faut que nous allions chercher nos bagages dans le XXème, puis, que nous retournions à l'aéroport Charles de Gaulle avec auparavant, une bonne demi heure de RER comblé. Lucie ne cesse de répéter "J'ai chaud...", étouffée dans la foule, tandis que Jo a un spécimen pour le moins...bizarre !

C'est essoufufflés et tout transpirants (miam!) quee nous arrivons à l'aéroport à 19h (pile l'horaire prévu, vive la course à pied).

Mais il faut encore prendre des navettes, et des escalators tant cet espace est gigantesque. c'est la course à l'avion : du coup Amélie "Lareine", que Lucie distrait se loupe la fin de l'escalator et tombe, très légérement...Arrivés à la voie D, la panique revient : Antoine n'a pas sa carte d'identité... Nous appelons ses parents pour qu'ils lui faxent...Mouse s'exprime : "olalala... on va moins rigoler :". Au bout de 45 min, pendant lesquelles camille a le temps de tomber de sa valise (solidarité), nous pouvons embarquer. Auparavant, nous avons découvert que Lucie a la plus lourde charge de bagagerie (17kg pour 4 jours !) et nous jouons au chef d'orchestre : des rires, des rires er un maximum de stress pour Antoine ! NOus avons tout de même pris "la mode parisienne" : nous courrons tout le temps !

Puis, vient l'heure de la fouille : certains enlèvent leur chaussures (bonjour l'odeur...) mais pas le temps de se rechausser, il faut courir pour rattrapper la navette ! Une fois dans le bus, nous nous demandons ou peut bien être "notre" avion : Camille regarde, nous circulons depuis 20 minutes dans la navette...Mais, le voila enfin : "notre" petit avion se tient prêt... Nous montons et nous installons tout au fond. mais il nous faut encore attendre pour cause de turbulences... ce n'est pas grave, le chef steewart, patrick, nous fait des tours de magie...quel farceur ce Patrick !  et puis, après que l'hotesse nous a fait les gestes de survie (sous nos yeux amusés), l'avion peut enfin décoller! nous sommes tous collés aux hublots, Mouse se cramponne à Claire et c'est parti !

Les lumières s'éloignent peu à peu, tandis que le steewart vient nous offrir de quoi manger et boire, enfin... avec les péripeties d'Antoine, nous n'avons pas eu le temps d'acheter à diner et nos estomacs crient famine.

"Sur votre gauche, vous pouvez voir Toulouse, sur votre droite Bordeaux", si près?

Mais certaines oreilles ne sont pas habituées à toutes ces turbulences : Lucie et Julie recoivent des "oreilles de Mickey" dépaysant...elles se retrouvent avec un verre en plastique sur chaque oreille. Mélanie qui veut boire, choisit mal son moment : une turbulence fait dévier l'avion et par la même occasion, le verre de grisou senior, qui manque de peu de se tâcher. Camille et Amélie "Lareine", quant à elles, essayent de faire de la musique ou du moins essayent d'imiter un clignotant avec leur cendrier. Le stewart les a vues... dommage pour elles : il a un sourire moqueur. On s'amuse comme on peut !

"Mesdames et messieurs, ladies and gentlemen, nous allons atterrir ...pensez aux portes...armements des tobogans.... Amélie, Claire , Antoine, Solène, Lucie, Audrey, Julie et Sandrine se reveillent, Laura et Mélanie destressent, marie Julia finit de lire, camille se moque d'Amelie "Lareine" qui a ouvert la porte des toilettes sur le steewart, juste à temps pour aller s'assoir avant l'atterissage...pas bien !

Nous descendons, disons aurevoir à Patrick et ses accolytes, et palpons l'air froid de Pau. Pas aussi frigorifiant que celui de Paris, il ne faut pas se leurrer...

Arrivés dans l'aéroport, les fous rires reprennent, le pied (ou le "yep") c'est la vision du comité d'accueil : messieurs et mesdames Dupin, Lamarque, Grisol et Malaman nous attendent le nez, et le sourire, collés à la vitre !

Le temps du trajet vers Bordères, nous ne le voyons même pas passer : nous racontonsnos histoires, se remémorant les têtes ou les paroles décallées des uns et des autres...

Pause oblige à la médiathèque de Bordères City où nous regroupons nos photos sur l'ordinateur (environ 1600), mais surtout c'est un moment propice au visionnage des films les "Jacadi a dit" nous font beaucoup rire...C'est avec un leger pincement au coeur que nous nous quittons...ce voyage a été stréssant, mais quel amusement ! ce qui nous tarde c'est de nous retrouver pour le prochain projet...

Que dit le dicton déjà ?   "c'est en faisant n'importe quoi, qu'on deveient pas n'importe qui".... PARI(S) GAGNE !

 

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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 09:25
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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 09:25
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